« C’est Du Génie – Acte 2 » : Poppy Aboubakar AOUDOU fait le point de la compétition

Article : « C’est Du Génie – Acte 2 » : Poppy Aboubakar AOUDOU fait le point de la compétition
Crédit: C'est Du Génie
3 juin 2023

« C’est Du Génie – Acte 2 » : Poppy Aboubakar AOUDOU fait le point de la compétition

Dans un élan de renaissance intellectuelle, « C’est Du Génie » apparaît comme une épreuve revalorisant l’esprit de culture générale au sein de la jeunesse togolaise. Après le double sacre consécutif de l’Université de Lomé, ce tournoi, unissant les étudiants des universités publiques et privées, redonne vie à l’enthousiasme morbide autour des compétitions académiques.

De l’artisan du graphisme jusqu’aux scribes de l’image et du son, chaque protagoniste du comité d’organisation a embrassé la mission qui lui a été confiée, gravissant sans relâche l’échelle de la responsabilité. Leurs ambitions s’élèvent bien au-delà des frontières togolaises, visant les sommets inexplorés de la réussite. Et c’est ce qui ressort de ces échanges avec le responsable de la commission technique, Poppy AOUDOU Aboubakar.

Propos recueillis par Gilles LAWSON


Comment est venue l’idée de créer la compétition « C’est Du Génie »

Poppy AOUDOU Aboubakar : « C’est Du Génie » trouve ses racines dans la disparition des compétitions de génie en herbe, telle que « Les Concurrents », émission télévisée à laquelle nous, jeunes esprits érudits aspiraient à participer, jusqu’à sa déconvenue en 2013. Tel un ciel étoilé s’éteignant progressivement, la soif d’apprendre et de se surpasser s’estompait au fil des années. Elom Ayedji, co-fondateur de Kekely Digital, a réuni quelques passionnés du jeu pour relancer la flamme de cette compétition exaltante. Ce noble objectif a vu son succès grandir au fil des années à travers des manifestations éclectiques aux noms évocateurs tels que « La Foire Adjafi », « La Foire JEEP » et « Génie Noël ». Sous l’égide de l’association « Club Einstein », nous avions brisé l’indifférence ambiante, suscitant l’engouement au sein des divers établissements scolaires tels que Lomé-Port, NDA, Collège Saint-Joseph, et même le collège Baptiste d’Adakpame.

Voici venu 2022, année dotée d’un nouvel éclat, grâce à l’implication de généreux sponsors prêts à soutenir ce défi et propulser cet événement sous les feux de la rampe. Les réseaux sociaux, sources de distraction peu édifiantes, n’ont plus la mainmise sur les jeunes esprits, subissant l’assaut du savoir et de la soif du savoir.

Quels sont les objectifs généraux et spécifiques poursuivis à travers cette initiative ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : L’objectif principal s’élève en apothéose : l’exaltation de l’excellence. Comme un sculpteur façonnant avec minutie son chef-d’œuvre, ce dessein éducatif vise à forger une nouvelle génération de jeunes aux esprits affûtés, étincelants de culture. Car, bien évidemment, le Génie en herbe oscille entre la légèreté du ludique et le sérieux de l’éducation, telle une plume virevoltant entre les pages d’un livre. À l’heure où les lumières de la connaissance sont indispensables pour embrasser les succès que ce monde complexe a à offrir, les concours d’entrée à la fonction publique révèlent l’importance de la culture générale pour nos jeunes.

Permettre à chaque esprit assoiffé de s’allier à ce concept fertile n’est pas qu’une simple compétition éphémère de deux mois. Non, il s’agit d’inculquer aux jeunes un état d’esprit, une philosophie en perpétuel mouvement les incitant à explorer, fouiller, et surtout, à exceller. Car avec les réseaux sociaux, si nous avons accès à un océan d’informations en un clic, il y a aussi de dangereux courants de divertissements, menaçant le développement harmonieux de notre pays.

Pour voguer vers un avenir florissant, nous devons nous armer d’excellence dans chaque domaine d’apprentissage, d’éducation, et même au-delà. À l’heure de l’ère de la transdisciplinarité, il ne suffit plus d’être un simple expert en un domaine pour briller. Nul ne peut se taire dans son refuge de connaissance ; il faut au contraire embrasser un spectre varié, une mosaïque d’expertises dans chaque branche du savoir.

Ainsi, l’objectif ultime se dessine : promouvoir un idéal d’excellence, forgé au cœur même de cette nouvelle génération de jeunes étincelants.

Quel bilan faites-vous de cette deuxième édition qui a réuni douze universités ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : Satisfaisant. Cette édition radieuse, a embrasé nos ambitions. Sur l’échiquier de nos aspirations, nous avons relevé l’audacieux défi d’accroître notre bruyère, faisant passer le nombre de participants de 8 à 12 protagonistes en quête du graal. Le voyage, autrefois semé d’embûches, s’est déroulé avec une fluidité sublime, esquivant les écueils et les caprices du destin technique. La balance du succès penche en notre faveur, et cette belle saison pleine d’intrépidité nous aura montré que, malgré les imperfections inhérentes à l’âme humaine, C’est Du Génie dévoile une superbe fresque aux contours étincelants.

De la fierté s’empare de nos cœurs pour notre épopée de cette année, et déjà, l’aube d’une année nouvelle se profile à l’horizon, offrant des opportunités inépuisables afin d’accueillir une encore meilleure symphonie du triomphe. De reflets en étincelles, nous serons prêts à saisir l’appel du futur, toujours en quête du dépassement de nos limites.

Quels ont été les moments forts, les surprises, mais aussi les difficultés que vous avez rencontrées lors de l’organisation et le déroulement du jeu de cette saison ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : Grâce à ces arènes intellectuelles, la lumière a brillé sur les pépites d’or que sont les étudiants de l’ESSEG, des novices en génie en herbe qui ont, sans conteste, démontré leur talent inné. Le CLIRAP nous a surpris agréablement malgré l’un de leurs valeureux capitaines en proie à la maladie. Contre toute attente, ces équipes ont brandi l’étendard de la passion, prouvant que l’esprit combatif demeure un moteur inégalable. Dans un ballet endiablé, l’EAMAU nous a offert un florilège d’affrontements palpitants, des duels aussi incertains que l’aiguille d’une boussole en pleine tempête, où chaque question faisait osciller la victoire d’un camp à l’autre.

Saluons l’exploit de l’IAI, dont la première participation s’est vue couronnée par une finale éblouissante. Quant à l’ESTABAT et aux autres équipes, nul ne saurait leur ôter leur mérite, car tous avaient pour lueur l’ambition de surpasser l’Université de Lomé.

Nous avons été témoins d’une symphonie d’émotions lors de matches mémorables, tels que ceux opposant l’IAI et la LBS. Un véritable tourbillon aux airs de David et Goliath, où la LBS, dos au mur, a réussi à renverser la vapeur pour remporter les lauriers. D’autres duels tels qu’EAMAU contre IAI ont façonné l’épopée de cette compétition et déterminé le sort des protagonistes. Parmi les demi-finales, EAMAU vs IAI se distingue comme le match du siècle, un chef-d’œuvre de suspense qui est resté gravé dans nos mémoires. Ces équipes ont, sans nul doute, insufflé un vent de renouveau et d’espoir, donnant le meilleur d’eux-mêmes pour mériter les louanges et les encouragements qui leur sont dus.

Niveau surprise, stupéfiant tour de force. La compétition a été témoin d’un coup de théâtre inattendu : la déroute de l’ESIG lors des quarts de finale. Comme un Hercule des temps modernes, l’EAMAU a bravé les obstacles et empoigné le colosse par les cornes, orchestrant une remontada prodigieuse dans les ultimes instants de la joute. Cette édition restera gravée comme celle rebondissements et des moments mémorables.

Il va sans dire que la gestion de 105 joueurs n’était pas une mince affaire. Ces esprits vifs ont brillé de par la diversité des scènes sur lesquelles ils ont évolué : Energy Génération, l’Auditorium de l’Université de Lomé et l’auditorium de l’Institut Confucius. Chaque cadre, tel un tableau vivant, a contribué à la richesse et à l’intensité de cette compétition hors du commun. Cependant, la réussite de cette édition n’a pas été exemptée d’embûches. Les défis financiers et logistiques se sont amoncelés tels des montagnes infranchissables. Le ballet incessant du matériel et la recherche du soutien financier ont laissé planer une ombre sur cette entreprise grandiose.

Quelques sponsors et partenaires, tels des mirages qui se dissipent, ont contribué à nourrir les incertitudes. Le feuilleton télévisé s’est brutalement interrompu, victime d’un désaccord qui a précipité la compétition hors des ondes cathodiques. Et que dire du labeur de la commission technique, ce cénacle d’érudits, vétérans des joutes intellectuelles et professionnels aguerris, qui ont dévoué leur temps et leur savoir pour rédiger les questionnaires ?

Gérer les subtilités mathématiques, déplacer les équipements et encadrer ces jeunes talents, demandait une prouesse herculéenne. Dans un tel projet où l’humain est au cœur de l’intrigue, l’adversité et la complexité règnent en maîtresses incontestées. Cette compétition a su transcender les épreuves pour offrir un spectacle digne des plus grandes légendes.

Qu’est-ce qui explique la réussite de la communication digitale autour de « C’est Du Génie » cette saison ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : Dans une véritable surprise, nous sommes nous-mêmes ébahis de constater l’adhésion du public à la communication élaborée par « C’est Du Génie » pour promouvoir la compétition. Pourtant, nous n’étions guère satisfaits de ce que nous avions présenté. Dès le départ, en tant que bénévoles au sein de l’équipe d’organisation de cet événement, nous avons tous assumé pleinement nos responsabilités. Ainsi, le graphiste, le Community Manager, les vidéastes, les photographes, chacun a saisi l’importance de cette compétition, bien au-delà d’une simple distraction éphémère. Nous aspirons à bâtir quelque chose de grand, sans viser uniquement le Togo ou nous-mêmes, mais en nous élevant davantage.

Pour y parvenir, nous devions prouver la réelle gravité de notre entreprise. Sous la houlette d’Elom AYEDJI, l’équipe d’organisation a pleinement compris l’envergure de notre projet. Ainsi, des stratégies et des politiques ont été soigneusement mises en place, tandis que chacun connaissait sa mission. Et voilà ! De fil en aiguille, nous avons malgré tout réussi. Bien sûr, nous avons rencontré plusieurs difficultés que je ne peux pas détailler publiquement. Cependant, avec l’aide et la grâce divine, nous avons accompli tout ce qui était en notre pouvoir, et nous ne pouvons qu’exprimer notre gratitude envers ce public qui apprécie notre travail.

Quelles perspectives et ambitions nourrissez-vous pour les éditions à venir ? Envisagez-vous d’étendre cette compétition flamboyante aux confins du Togo ou même à d’autres terres africaines ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : Nous caressons le rêve d’étendre la compétition au-delà des frontières de la région maritime du Togo, et s’aventurer avec détermination dans l’immensité des contrées africaines. Dans ce ballet stratégique, le Nord du pays occupe une place de choix sur le programme des réjouissances, avec l’Université de Kara en ligne de mire, promise à une intégration prochaine. De même, d’autres prestigieuses institutions telles que l’ENES et l’ENAM sont dans les esprits, invitées à faire résonner leur hymne à la culture générale.

Oubliant toute modestie, « C’est Du Génie » se rêve désormais en Coupe d’Afrique des Nations francophone de culture générale, faisant fi des barrières, défiant les géants comme le Bénin, le Sénégal et la Côte d’Ivoire. L’ambition est claire : devenir une pépite étincelante où les prouesses intellectuelles rivalisent avec les exploits sportifs.

Animée par une volonté farouche, l’équipe œuvre inlassablement pour hisser « C’est Du Génie » à la hauteur de « Questions Pour Un Champion », inscrivant notre nom aux côtés des légendes du quizz. L’avenir s’annonce radieux, peuplé de vastes compétitions aux confins du pays, et même des projets tels que « C’est Du Génie Sénégal » et « C’est Du Génie Côte d’Ivoire » se profilent à l’horizon. Reste à savoir si ces audacieuses idées trouveront leur écho dans la réalité.

Quels sont les retombées et impacts sur les participants, les partenaires, les médias tout comme le public ?

Poppy AOUDOU Aboubakar : Les participants ont pris conscience de leur propre potentiel et de leur soif d’apprendre et de revenir plus rayonnants que jamais. Cette compétition a ouvert les yeux de nombreux jeunes, révélant l’abondance des connaissances qui les attendent. Il y a tant de choses à prouver, à découvrir pour leur propre enrichissement culturel, et pourquoi pas, pour les joutes à venir. Les jeunes ont compris qu’ils sont porteurs d’un potentiel incommensurable. Et laissez-moi vous confier que, en ce moment même où je m’adresse à vous, des jeunes se sont rassemblés, créant des associations pour s’entraîner les uns les autres. Animées par la soif d’apprendre, ces jeunes pousses rivalisent d’ingéniosité, stimulant leur créativité en trouvant refuge dans ces groupes d’entraînement conjoint, désireux de fortifier leur savoir pour les joutes intellectuelles à venir. 

Un des mérites indéniables de cette compétition réside dans sa capacité à tisser un réseau solidaire parmi la jeunesse. Au départ, ces joueurs ne se connaissaient pas, mais désormais, ils cheminent ensemble, organisant des événements conjoints, s’entraînant côte à côte. « C’est Du Génie », plus qu’une compétition, devient un catalyseur de talents, incitant les jeunes à se transcender et à renforcer l’édifice de leur culture personnelle. Ce legs précieux façonne les acteurs de demain, gravant au fer rouge l’empreinte positive de l’événement dans les esprits de ses participants, une victoire lumineuse qui réunit les talents dispersés et les éclaire de concert.

Le public, véritable spectateur avide de découvertes. C’est Du Génie ne s’est pas contenté de piquer la curiosité des spectateurs, il a fait renaître en chacun la flamme du plaisir d’apprendre. Comme je l’avais mentionné, au-delà de l’aspect éducatif du jeu, une joyeuse effervescence s’est emparée des esprits. Cette compétition de génie en herbe s’est révélée être une source de récréation exquise. Les spectateurs se sont divertis, s’abandonnant à des instants marquants, bercés par les éclats de rire et la légèreté partagée avec les jeunes prodiges. C’est une forme de divertissement offerte au public, une alternative aux sempiternelles déambulations et à la somnolence sur TikTok, où le néant guette. Le public s’est délecté de sa participation aux duels orchestrés par « C’est Du Génie ».

Nous avons même été contactés par des membres de la diaspora, connectés en ligne, et leur enthousiasme était palpable. Ainsi, en plus de son rôle éducatif, il ne faut point négliger l’aspect ludique. Les jeunes ont été conquis, et je prévois qu’il nous faudra l’année prochaine une salle bien plus vaste, car l’engouement risque de déborder de toutes parts.

Quant aux partenaires et sponsors, ils se sont trouvés propulsés vers les sommets de la visibilité, leurs noms scintillant sur nos affiches, dans nos visuels. Ils ont bondi avec audace, gravissant les échelons de la reconnaissance. Il est vrai que certaines entités, peut-être méconnues des étudiants, ont pu, grâce à « C’est Du Génie », éclairer de leurs feux la scène publique. Jadis ignorées par le vaste monde estudiantin, ces structures bienveillantes ont ainsi pu compter sur l’aura lumineuse de « C’est Du Génie » pour se dévoiler et séduire un public conquis.

Ainsi, chacun a goûté à sa part de gloire : les jeunes ont saisi l’étincelle de leur potentiel, le public, affranchi de toute perte de temps, s’est abreuvé de connaissances tout en se délectant du spectacle, et les partenaires, que nous ne saurions trop remercier, ont permis l’éclosion d’un événement grandiose. Une danse harmonieuse du donnant-donnant s’est jouée. Nous leur avons offert la vitrine, la visibilité, et en retour, ils nous ont comblés de leur soutien inébranlable, contribuant ainsi à l’organisation d’une compétition inégalée.

Quels sont les remerciements que vous adressez aux personnes et structures qui vous ont soutenus et accompagnés ?

La Primature togolaise a généreusement guidé nos pas dans cette quête de sponsors. La Primature, véritable pilier, et le ministre, Kanka-Malick NATCHABA, dans sa noble fonction de secrétaire général du gouvernement, ont été des compagnons fidèles depuis les premiers instants. Le ministre Kanka-Malick Natchaba n’a cessé d’irradier sa lumière sur notre projet depuis les prémices de cette aventure, guidant nos pas et partageant généreusement ses conseils avisés. Déjà présents lors de la finale de la première édition, il nous a à nouveau honorés de sa présence lors de la deuxième édition.

Nous exprimons également notre gratitude envers le ministère du Développement à la Base et le ministère de la Communication, dont le soutien financier et personnel nous a été précieux.

Nous ne saurions oublier nos aînés, tels que Alimou KPANGO, Yannick AMEDOME, Romeo LACLE, qui n’ont pas hésité à partager leur expertise, ayant eux-mêmes évolué dans ce domaine avant nous. Leur jeu brillant nous a inspirés, et leur participation enthousiaste a été sans faille. Lors du match d’exhibition entre les anciens et les nouveaux, ils étaient là en nombre, plus de vingt vaillants guerriers, se livrant bataille sur le buzzer.  Cet événement a ouvert un chapitre nouveau dans le récit de notre aventure, renforçant notre conviction que les éditions à venir seront encore plus grandioses. À eux tous, nous adressons nos plus sincères remerciements, en espérant qu’ils continueront d’accompagner nos futures éditions.

Nous exprimons également une gratitude profonde envers nos précieux sponsors, sans qui nous ne pourrions pas récompenser les joueurs. Le mot « merci » semble bien faible pour exprimer notre reconnaissance, et si un terme plus grand existait, nous l’emploierions sans hésiter. Nos sponsors, tels que T-Oil, Moov Africa, Interfax Conseil et surtout Teolis, qui a été parmi les premiers à nous suivre, ont su faire preuve d’un soutien sans faille. Nous ne saurions oublier nos partenaires médiatiques tels qu’Operon Group et Actus Togo, ainsi que Kari Kari. Sans eux, nous ne serions pas ici en train de discuter aujourd’hui. Sans eux, nos exploits demeureraient un trésor enfoui dans les sables du temps. Nous adressons donc nos remerciements chaleureux à ces institutions économiques et partenaires médiatiques, en espérant les avoir à nos côtés lors des prochaines éditions.

Votre mot de fin

En cette précieuse occasion, je tiens tout d’abord à exprimer ma profonde gratitude envers Monsieur LAWSON Gilles, qui m’a fait l’honneur de m’inviter à prendre la parole . Je vous souhaite à tous bon courage, car ensemble, nous sommes sur le point de vivre une aventure extraordinaire. En tant que responsable de la commission technique, je voudrais adresser un vibrant hommage à mes collègues et camarades qui m’ont épaulé dans l’élaboration minutieuse des fiches de match, des rubriques et des propositions de questions inspirées. Leur contribution a été d’une valeur inestimable, et je tiens sincèrement à les remercier. Il est vrai que j’ai pu me montrer exigeant à leur égard, car respecter les délais imposés était primordial. Les moments furent parfois empreints de tension, mais nous avons su tenir bon, et je souhaite les remercier du fond du cœur.

Je saisis également cette opportunité pour exprimer ma reconnaissance envers Elom AYEDJI, qui a fait preuve d’une vision extraordinaire. C’est grâce à lui que nous sommes réunis ici aujourd’hui. À ses côtés, nos rêves prennent des proportions célestes, flottant au-delà des frontières terrestres pour envisager l’organisation de cette compétition au sommet des dunes martiennes. Bien que jeunes, la plupart d’entre nous dans la vingtaine voire la trentaine, nous sommes animés d’une ambition débordante. Quel que soit le défi qui se dressera devant nous, nous nous surpasserons. Nous ferons tout ce qu’il faut, tout ce qu’il est nécessaire d’entreprendre. Si organiser C’est Du Génie sur Mars s’avère être la voie à suivre, nous nous engagerons corps et âme pour mener à bien cette compétition interplanétaire.

Mes remerciements s’adressent également aux chefs d’établissement qui ont généreusement accepté de prendre part à cette aventure extraordinaire. Que les étoiles du firmament témoignent de notre gratitude et que leur lumière guide notre jeunesse avide de connaissance vers l’horizon éblouissant de l’année prochaine.

Je saisis cette occasion pour exprimer ma gratitude envers le public qui, par sa présence et son soutien indéfectible, insuffle une énergie vitale à cet événement. Merci à tous, du plus profond de mon être. Et je m’adresse aux jeunes en leur disant de continuer à explorer, à creuser les abysses de leurs esprits, car l’année prochaine, nous vivrons une édition encore plus grandiose. Merci, merci infiniment !

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